An Avel Braz poursuit son développement et sa collaboration avec Inddigo qui a démarré en 2007 en nous confiant la réalisation des demandes d’autorisation environnementale de 5 nouveaux parcs éoliens dans l’Aube et la Marne. On vous en dit plus.
Les Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE) nécessitent différentes procédures et décisions environnementales regroupées depuis 2017 dans une autorisation environnementale unique. Cette dernière inclut l’ensemble des prescriptions des différentes législations applicables et relevant des codes de l’environnement, forestier, de l’énergie et des transports. An Avel Braz nous confie les études et le suivi de dossiers nécessaires à l’obtention de l’autorisation pour ses 5 nouveaux parcs.
An Avel Braz, acteur historique de l’éolien, 2ème producteur de la région Grand Est, dispose déjà de 7 parcs en activité, soit 71 éoliennes construites pour une puissance totale de 170 MW, essentiellement dans l’Aube et la Marne, mais également dans les Ardennes et la Somme. 4 nouveaux parcs sont également en fin de construction.
# Le parc éolien de la Côte Noire II
# Le parc éolien de l’Herbissonne III
# Le parc éolien du Village de Richebourg III
# Le parc éolien de l’Espérance
# Le parc éolien du clocher de Sompuis
La demande d’autorisation environnementale unique va être déposée à l’automne.
Les parcs éoliens de Côte Noire II, Herbissonne III et de Village de Richebourg III sont implantés en extension de parcs existants.
Notre mission
Inddigo mène les études, rédige et assemble toutes les pièces nécessaires à la demande d’autorisation environnementale unique :
Les études d’impact et de dangers sont les pièces maitresses de la demande d’autorisation environnementale unique.
À lire également :
L’Évaluation Environnementale Règlementaire en 6 questions (actualité)
Les Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE) nécessitent différentes procédures et décisions environnementales regroupées depuis 2017 dans une autorisation environnementale unique. Cette dernière inclut l’ensemble des prescriptions des différentes législations applicables et relevant des codes de l’environnement, forestier, de l’énergie et des transports. An Avel Braz nous confie les études et le suivi de dossiers nécessaires à l’obtention de l’autorisation pour ses 5 nouveaux parcs.
An Avel Braz, acteur historique de l’éolien, 2ème producteur de la région Grand Est, dispose déjà de 7 parcs en activité, soit 71 éoliennes construites pour une puissance totale de 170 MW, essentiellement dans l’Aube et la Marne, mais également dans les Ardennes et la Somme. 4 nouveaux parcs sont également en fin de construction.
# Le parc éolien de la Côte Noire II
- 7 éoliennes de 3,6 à 4,2 mégawatts chacune
- Hauteur maximale en bout de pâle : 165, 175, 180 et 190 mètres
- Production annuelle totale prévue : 75 450 mégawatts heures
- Couverture des besoins de 14 563 foyers environ
- Développée en substitution de centrales thermiques à combustible fossile, cette installation permettra une économie d’environ 73 400 tonnes/an de rejets de CO2 dans l’atmosphère soit plus de 1,5 M tonnes éq. CO2 sur la durée de vie du parc
# Le parc éolien de l’Herbissonne III
- 8 éoliennes de 4,2 mégawatts chacune
- Hauteur maximale en bout de pâle : 190 mètres
- Production annuelle totale prévue : 81 300 mégawatts heures
- Couverture des besoins de 16 500 foyers environ
- Développée en substitution de centrales thermiques à combustible fossile, cette installation permettra une économie d’environ 84 190 tonnes/an de rejets de CO2 dans l’atmosphère soit plus de 1,68 M tonnes éq. CO2 sur la durée de vie du parc
# Le parc éolien du Village de Richebourg III
- 9 éoliennes de 4,2 mégawatts chacune
- Hauteur maximale en bout de pâle : 190 mètres
- Production annuelle totale prévue : 90 000 mégawatts heures
- Couverture des besoins de 18 203 foyers environ
- Développée en substitution de centrales thermiques à combustible fossile, cette installation permettra une économie d’environ 87 600 tonnes/an de rejets de CO2 dans l’atmosphère soit plus de 1,75 M tonnes éq. CO2 sur la durée de vie du parc
# Le parc éolien de l’Espérance
- 4 éoliennes de 4,2 mégawatts chacune
- Hauteur maximale en bout de pâle : 190 mètres
- Production annuelle totale prévue : 44 500 mégawatts heures
- Couverture des besoins de 9 000 foyers environ
- Développée en substitution de centrales thermiques à combustible fossile, cette installation permettra une économie d’environ 43 300 tonnes/an de rejets de CO2 dans l’atmosphère soit plus de 866 000 tonnes éq. CO2 sur la durée de vie du parc
# Le parc éolien du clocher de Sompuis
- 7 éoliennes de 3,6 et 4,2 mégawatts
- Hauteur maximale en bout de pâle : 150, 155, 165 et 180 mètres
- Production annuelle totale prévue : environ 64 000 mégawatts heures
- Couverture des besoins de 12 900 foyers environ
- Développée en substitution de centrales thermiques à combustible fossile, cette installation permettra une économie d’environ 67 800 tonnes/an de rejets de CO2 dans l’atmosphère soit plus de 1,36 M tonnes éq. CO2 sur la durée de vie du parc
La demande d’autorisation environnementale unique va être déposée à l’automne.
Les parcs éoliens de Côte Noire II, Herbissonne III et de Village de Richebourg III sont implantés en extension de parcs existants.
Notre mission
Inddigo mène les études, rédige et assemble toutes les pièces nécessaires à la demande d’autorisation environnementale unique :
- Les études d’impact et de dangers ainsi que leurs résumés techniques
- La présentation des projets et les justificatifs de compatibilité avec l’ensemble des dossiers d’urbanisme, plans et programmes
- Les annexes des études sur la biodiversité, le paysage, l’acoustique, etc.
- Le volet administratif (capacité technique et financière, certificats à destination de l’armée ou de Météo France, etc.)
- Nous intégrons également les différents plans de masse et de détails et réalisons les plans de situation cadastrale de chaque éolienne
Les études d’impact et de dangers sont les pièces maitresses de la demande d’autorisation environnementale unique.
- L’étude d’impact a pour objet de définir tous les effets d’un projet, de faire en sorte que ces effets soient les plus faibles possibles, de les limiter voire de les compenser. Les impacts de toutes natures sont étudiés : sur la biodiversité, les terres, l’eau, l’air, le climat, le patrimoine paysager et culturel, les populations, la santé et leurs interactions.
- L’étude de dangers a pour objet de définir l’ensemble des risques liés à l’implantation et aux caractéristiques du projet : perturbation du trafic aérien, effondrement éolien, chute de pale ou de tout autre élément, le comportement face aux éléments climatiques comme la projection de glace en cas de gel.
À lire également :
L’Évaluation Environnementale Règlementaire en 6 questions (actualité)