Début 2016, Inddigo a lancé un appel à projets pour apporter son soutien à une association ou une entreprise de l’économie sociale et solidaire. La conserverie J’aime Boc’Oh a été choisie et bénéficiera d’une aide de 10 000 euros sur 2 ans.
J’aime Boc’Oh agit concrètement depuis deux années contre le gaspillage alimentaire en développant des partenariats où toutes les parties sont gagnantes, avec des distributeurs et des producteurs locaux.
Cette conserverie solidaire récupère et transforme des invendus de commerces alimentaires, allant d’un magasin de proximité au marché d’intérêt national (MIN), des excédents agricoles issus d’exploitations classiques ou de jardins de cocagne et même des produits frais donnés à des structures caritatives qui ne peuvent être redistribués assez rapidement.
Le modèle est simple et reproductible : ce sont des micro-structures associatives qui valorisent ces fruits et ces légumes sous forme de confitures et de chutneys, pour créer des emplois en insertion.
Des partenariats avec d’autres SIAE (Structures d’Insertion par l’Activité Économique) locales permettent de mutualiser un certain nombre de besoins spécifiques, comme le suivi du parcours d’insertion. À l’origine, ce projet est situé sur le bassin chambérien, mais il a vocation à essaimer.
Les métiers envisagés en fin de parcours d’insertion touchent à toute la chaine de l’agroalimentaire et de la restauration. Le type d’activité permet en outre d’envisager des postes en insertion dédiés aux femmes, ce qui est une attente forte des services de l’État.
Le conditionnement des produits finis permet d’envisager le réemploi des emballages ; le dispositif de consigne et lavage des bocaux est déjà à l’étude.
J’aime Boc’Oh agit concrètement depuis deux années contre le gaspillage alimentaire en développant des partenariats où toutes les parties sont gagnantes, avec des distributeurs et des producteurs locaux.
Cette conserverie solidaire récupère et transforme des invendus de commerces alimentaires, allant d’un magasin de proximité au marché d’intérêt national (MIN), des excédents agricoles issus d’exploitations classiques ou de jardins de cocagne et même des produits frais donnés à des structures caritatives qui ne peuvent être redistribués assez rapidement.
Le modèle est simple et reproductible : ce sont des micro-structures associatives qui valorisent ces fruits et ces légumes sous forme de confitures et de chutneys, pour créer des emplois en insertion.
Des partenariats avec d’autres SIAE (Structures d’Insertion par l’Activité Économique) locales permettent de mutualiser un certain nombre de besoins spécifiques, comme le suivi du parcours d’insertion. À l’origine, ce projet est situé sur le bassin chambérien, mais il a vocation à essaimer.
Les métiers envisagés en fin de parcours d’insertion touchent à toute la chaine de l’agroalimentaire et de la restauration. Le type d’activité permet en outre d’envisager des postes en insertion dédiés aux femmes, ce qui est une attente forte des services de l’État.
Le conditionnement des produits finis permet d’envisager le réemploi des emballages ; le dispositif de consigne et lavage des bocaux est déjà à l’étude.